Disneyland After Dark
Titre original : Disneyland After Dark Production : Walt Disney Productions Date de diffusion USA : Le 15 avril 1962 Genre : Documentaire Date de sortie cinéma USA : 1963 |
Réalisation : Hamilton Luske William Beaudine Durée : 47 minutes |
Disponibilité(s) aux États-Unis : |
Le synopsis
Walt Disney propose aux spectateurs une visite nocturne de Disneyland. Il convie pour les festivités de grands artistes "spécialistes de la nuit" tels Louis Amstrong, Kid Ory, Johnny St. Cyr, Boddy Rydell, Annette Funicello, Bobby Burgess, Monette Moore... Le show s'achève, comme toujours au royaume magique, sur un féerique feu d'artifices. |
La critique
Dès 1954, et jusqu'en 1984, les studios Disney mettent en production des courts et moyens métrages dits "spéciaux", en ce sens qu'ils n'appartiennent à aucune collection ou série, mais sont uniquement des "one shot". La première moitié est ainsi constituée de courts-métrages inférieurs à 35 minutes et l'autre, de moyens-métrages, dont la durée est comprise entre 35 et 50 minutes. Sur ces derniers, dix ont été produits directement pour le cinéma et quatre ont d'abord été diffusés à la télévision avant d'avoir les honneurs du grand écran. Si tous ces moyens-métrages ont une durée identique aux films IMAX actuellement produits par Disney (La légende de l'étalon noir, Aliens of the deep...), ils n'ont pas, à la différence de leurs benjamins, été retenus pour figurer dans liste officielle des long-métrages.
Disneyland After Dark a d'abord été diffusé dans l'émission télé, Walt Disney's Wonderful World of Color, le 15 avril 1962. La grande qualité de l'épisode lui ouvre ensuite les portes du grand écran en 1963. Il est vrai que ce moyen-métrage est un pur et beau moment de divertissement. A travers les différents lands du parc à thème, les performances d'artistes de qualité se succèdent en effet parmi lesquels se remarquent Bobby Burgess et Annette Funicello, deux anciens "mouseketers" du Mickey Mouse Club ou l'immense jazz man, Louis Amstrong.
Disneyland After Dark vaut également pour son voyage dans le temps et la vision qu'il propose du Disneyland des années 60. Les sensations sont garanties et le voyage merveilleux.