Les Petits Champions
Game Changers - Saison 1

Titre original :
The Mighty Ducks : Game Changers - Season 1
Production :
Disney Branded Television
ABC Signature
Date de mise en ligne USA :
26 mars 2021 - 28 mai 2021 (Disney+)
Genre :
Sport
Création :
Steven Brill
Josh Goldsmith
Cathy Yuspa
Musique :
John Debney
Durée :
298 minutes
Les Petits Champions : Game Changers - Autre(s) saison(s) :
Saison 01
Saison 02

Liste et résumés des épisodes

1. Game On
Coup de Sifflet
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 1
Date de diffusion USA : Le 26 mars 2021
Réalisé par : James Griffiths
Durée : 38 minutes
Alors qu'Evan est renvoyé de l'équipe des Ducks, sa mère, Alex, décide de l'aider à monter une nouvelle équipe de hockey sur glace : les Don’t Bothers !
2. Dusters
En Avant !
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 2
Date de diffusion USA : Le 2 avril 2021
Réalisé par : Michael Spiller
Durée : 30 minutes
Evan doute des méthodes d'entrainement de sa mère...
3. Breakaway
La Plus Belle des Défaites
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 3
Date de diffusion USA : Le 9 avril 2021
Réalisé par : Jay Karas
Durée : 30 minutes
Les Don’t Bothers marquent leur premier point...
4. Hockey Moms
Le Défi des Mamans
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 4
Date de diffusion USA : Le 16 avril 2021
Réalisé par : James Griffiths
Durée : 32 minutes
Alex participe au challenge des mamans contre les mères des Ducks...
5. Cherry Picker
Jouer et Gagner
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 5
Date de diffusion USA : Le 23 avril 2021
Réalisé par : Jay Karas
Durée : 26 minutes
Le père d'Evan lui rend une visite surprise...
6. Spirit of the Ducks
L'Esprit des Ducks
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 6
Date de diffusion USA : Le 30 avril 2021
Réalisé par : Steve Brill
Durée : 26 minutes
Les Ducks fêtent leur 25e anniversaire...
7. Pond Hockey
La Magie de l'Étang Gelé
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 7
Date de diffusion USA : Le 7 mai 2021
Réalisé par : Melissa Kosar
Durée : 28 minutes
Les Don’t Bothers s'entrainent sur un lac gelé...
8. Change on the Fly
Le Prix de la Victoire
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 8
Date de diffusion USA : Le 14 mai 2021
Réalisé par : Michael Spiller
Durée : 28 minutes
Logan est le dernier membre de l'équipe à ne pas avoir marqué un but...
9. Head Games
Petits Secrets entre Coaches
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 9
Date de diffusion USA : Le 21 mai 2021
Réalisé par : Melissa Kosar
Durée : 30 minutes
Les Don’t Bothers participent au tournoi national...
10. State of Play
La Victoire du Cœur
Genre : Épisode
Série : Les Petits Champions : Game Changers
Saison 1 Épisode 10
Date de diffusion USA : Le 28 mai 2021
Réalisé par : Michael Spiller
Durée : 30 minutes
Les Don’t Bothers jouent leur avenir...

La critique

rédigée par
Publiée le 12 juin 2021

Il existe des séries doudous. Des fictions qui n'ont rien d'original, qui ne réinventent pas la poudre, qui offrent des personnages parfois caricaturaux et des actions archi vues. Et pourtant, elles fonctionnent justement à cause de tout ce qui peut être considéré par ailleurs comme des défauts. Les Petits Champions : Game Changers est de celles-ci. Avec ses personnages attachants, ses histoires sympathiques et bienveillantes, elle a su en effet apporter une petite touche de bonheur aux spectateurs au fil des semaines. Une série pleine de nostalgie qui, comme les films dont elle est la suite, fait du bien au moral et amène du bonheur au public. Que demander de plus ?

Les Petits Champions a été une franchise lucrative pour Disney dans les années 90 ; le premier film Les Petits Champions sortant au cinéma le 2 octobre 1992. S'il se fait descendre par la critique, il est néanmoins un succès commercial. Avec un budget de 14 millions de dollars, il en rapporte au moins 50 millions rien qu'au États-Unis. Et sa réussite est encore plus probante en vidéo. Au fil des années, il devient culte pour toute une génération. Ce succès inattendu incite Disney à le faire prospérer au point de créer une franchise. Deux autres opus voient ainsi le jour, même s'ils n'obtiendront pas le même succès en salles, mais avec tout de même une réussite suffisante pour être rentables : Les Petits Champions 2, le 25 mars 1994, et Les Petits Champions 3, le 4 octobre 1996. Une série télévisée animée est également lancée, Mighty Ducks - Les Canards de l'Exploit, diffusée entre le 7 septembre 1996 et le 10 janvier 1997 sur la chaîne ABC. Elle met en scène des canards extra-terrestres joueurs de hockey sur glace.

Une chose est sûre, à l'époque, Les Petits Champions provoque une belle vague d'engouement pour le hockey sur glace auprès des jeunes Américains. Et le succès du film va donner une idée incongrue à Michael Eisner, alors PDG de The Walt Disney Company, dans son envie de faire fructifier l'aura du film. Le studio obtient il est vrai de la Ligue Nationale de Hockey, le 10 décembre 1992, l'octroi d'une franchise qui se voit immédiatement valorisée par l'installation de l'équipe des Mighty Ducks à Anaheim, une ville située dans la banlieue de Los Angeles et présentant l'avantage d'abriter Disneyland Resort. Et l'équipe devient logiquement vite très populaire auprès du jeune public. À tel point d'ailleurs qu'en 1996, au pic de leur célébrité, le marchandisage de la Ligue Nationale de Hockey qui rapporte environ un milliard de dollars par an est constitué à 80% de produits à l'effigie des Mighty Ducks. Mais l'aura de l'équipe va petit à petit faiblir. Finalement, The Walt Disney Company en restera propriétaire jusqu'en 2005 avant de la revendre à des particuliers qui la rebaptisent, sobrement, les Ducks.

À l'origine, Les Petits Champions a été imaginé par le scénariste Steven Brill. Inspiré par le film La Chouette Équipe de 1976 sorti chez Paramount Pictures, il écrit un script sur une jeune équipe de hockey qui tombe finalement dans les mains de The Walt Disney Company. D'abord à destination des adultes, le scénario évolue pour devenir Les Petits Champions et sort finalement chez Walt Disney Pictures. Content du résultat, le studio confie alors au scénariste l'écriture des deux autres volets de la trilogie. Disney lui permet par ailleurs de réaliser son premier film avec La Colo des Gourmands en 1995. Il signe ensuite de nombreuses comédies chez d'autres studios dont Little Nicky en 2000 et Les Aventures de Mister Deeds en 2002, toutes deux avec Adam Sandler ; Drillbit Taylor, Garde du Corps en 2008 avec Owen Wilson ; Blackout Total en 2014 avec Elizabeth Banks et James Marsden ; ou encore The Do-Over en 2016 encore une fois avec Adam Sandler.

En 2018, avec Jordan Kerner, le producteur de la trilogie Les Petits Champions, Steven Brill approche Tracy Underwood, la responsable d'ABC Signature, dans l'idée de produire une série sur les Ducks. Cette dernière est tout de suite emballée et accepte le projet. Dans un premier temps, elle l'envisage pour la télévision même si aucune chaîne de diffusion n'est actée à ce stade ; puis, très vite le projet semble parfaitement correspondre au besoin de la future plateforme Disney+ qui doit ouvrir fin 2019. Steven Brill est alors désigné comme showrunner et se fait assister par Josh Goldsmith et Cathy Yuspa. Le tournage, censé débuter début 2020, se voit finalement décalé à septembre 2020 à la suite de la crise sanitaire de la Covid-19. Chose notable, il s'agit de la première fois que la filiale produit une série pour le label Disney. Jusqu'à maintenant, les séries Disney avaient en effet été toutes produites soit par feu la filiale Walt Disney Television fermée en 2003 ou alors par Disney Channel.

Les Petits Champions : Game Changers est clairement une série qui joue à fond sur la nostalgie en faisant revenir le personnage de Gordon Bombay, campé à merveille par Emilio Estevez. Ce rôle est sûrement celui que le public a plus retenu de l'acteur. Après la participation au premier film, et en plus des deux suites, il joue principalement dans des films plus adultes, notamment chez Touchstone Pictures, avec Indiscrétion Assurée en 1993, suite d'Étroite Surveillance, ou encore The War at Home en 1996 où il apparaît avec son père Martin Sheen tout en assumant le poste de réalisateur. Après Les Petits Champions 3, toujours en 1996, l'acteur va se faire malheureusement de plus en plus rare au cinéma et à la télévision. Sa présence dans Les Petits Champions : Game Changers est donc un vrai bonheur, surtout que la série lui réserve un rôle à son image, celui d'un timide qui déteste être sur le devant de la scène. Le personnage de Bombay a en fait subi des échecs dans son existence et commis des erreurs qui l'ont éloigné du hockey. Les aléas de la vie l'ont en effet bousculé et les années passant l'ont encore plus incité à se renfermer sur lui-même. Et comme dans le premier film, c'est finalement une bande de gamin qui va lui remettre le pied à l'étrier. Mais la seule chose qu'il cherche, et qu'il va finir par inculquer aux adolescents, est le plaisir d'être sur la glace et de jouer au hockey. Il le fait ainsi tout en nuance et retenue sans jamais vouloir s'imposer, rendant finalement le personnage bien plus humble qu'il ne l'était à ses débuts.

Toujours dans la nostalgie, Les Petits Champions : Game Changers fait revenir l'équipe des Ducks. Mais contrepied plutôt bien trouvé, désormais l'équipe vedette a pris la grosse tête et ses membres comme son entraîneur deviennent les gros méchants de la série. Avec la victoire et la gloire, les Ducks sont, il est vrai, devenus des joueurs arrogants pour qui seuls le résultat et l'excellence comptent. Le moindre écart est sanctionné et l'erreur n'a pas sa place. L'un des membres rejeté décide alors de créer sa propre équipe, les Don't Bothers, pour continuer à faire du hockey et surtout retrouver le plaisir de jouer sans la pression que lui mettait l'entraîneur des Ducks. La série aborde donc le même sujet que le film, c'est-à-dire le jeu et le plaisir contre la victoire à tout prix et le dénigrement. En cela, elle n'est en rien originale mais n'en demeure pas moins positive et optimiste, développant des valeurs familiales simples. ll est ainsi plaisant de voir cette équipe de bras cassés apprendre à quitter sa zone de confort, se connaître en devenant de vrais amis et surtout progresser en prenant du plaisir à jouer ensemble. Cet environnement positif de camaraderie finit par payer et l'équipe commence à marquer des points puis à gagner des matchs.

Toujours dans la nostalgie, la série a l'excellente idée de faire revenir les tout premiers joueurs des Ducks dans le sixième épisode, L'Esprit des Ducks. Les acteurs d'origine reprennent ainsi leur rôle. Les spectateurs reconnaîtront Elden Henson dans le rôle de Fulton Reed, Matt Doherty dans celui de Lester Averman, Vincent LaRusso dans celui d'Adam Banks, Marguerite Moreau dans celui de Connie Moreau, Garette Henson dans celui de Guy Germaine et Justin Wong dans celui de Ken Wu. En réalité, il est juste dommage que Joshua Jackson n'ait pas pu reprendre son rôle de Charlie Conway à cause d'un problème de planning. Ce retour, même si c'est pour un seul épisode, apporte beaucoup d'émotions mais renvoie aussi les fans du premier film à leur âge. Eux qui étaient des jeunes enfants dans les années 90 ont pris trente ans et sont désormais des adultes dans la force de l'âge. Le temps passe et cette série le fait bien comprendre mais elle permet aussi de retrouver les sensations, les valeurs et la bonne humeur de l'époque. En cela, le côté nostalgique des (Les) Petits Champions : Game Changers est parfaitement géré et calibré.

Les Petits Champions : Game Changers propose également des personnages inédits à commencer par Alex Morrow, jouée à merveille par Lauren Graham. L'actrice est surtout connue pour avoir interprétée Lorelai Gilmore dans la série Gilmore Girls mais est aussi apparue dans le film Disney Baby-Sittor. La mère célibataire s'occupe seule de son fils Evan depuis sa séparation avec le père du garçon. Elle est aux petits soins et va même jusqu'à créer une équipe de kockey sur glace afin qu'il continue à pratiquer le sport qu'il aime tant, après avoir été viré des Ducks. Elle décide même de devenir le coach de la nouvelle équipe même si elle n'y connaît strictement rien. Totalement maladroite, essayant toujours de bien faire, elle a tendance à se faire marcher sur les pieds par sa supérieure. Elle n'ose jamais lui dire non et se retrouve souvent à faire ses corvées ingrates. Bien qu'elle n'arrive pas à s'affirmer, elle dispose pourtant d'énergie à revendre. Elle décide donc d'aider son fils et ses amis à prendre du plaisir dans le sport qu'il aime. Néanmoins, malgré toute sa bonne volonté, les adolescents ont du mal à trouver le chemin de la victoire. La réussite pointera le bout de son nez quand elle se fera aider par l'ancien coach Gordon Bombay.

Parmi le reste du casting adulte, il sera apprécié le coach T des Ducks, joué par Dylan Playfair, déjà vu dans Descendants 2 et Descendants 3. Le jeune homme est particulièrement antipathique, cherchant à tout prix à gagner, mettant une pression énorme à ses joueurs, ne voulant que les meilleurs, et se débarrassant des maillons faibles au lieu de les aider à progresser. Hautain, il est persuadé que les Don't Bothers sont des losers qui ne méritent même pas son attention. L'autre adulte intéressante est Stephanie (Julee Cerda), la supérieure d'Alex. Snobe, elle est fière de sa vie, de son mariage, de ses enfants et de leur équipe dont elle dirige le club des parents. Elle ne cherche que l'excellence et la victoire et dénigre sa pauvre employée dont elle profite du caractère malléable.

Les Petits Champions : Game Changers fonctionne surtout grâce à sa bande de gamins tous plus attachants les uns que les autres. Le premier d'entre eux est Evan Morrow (Brady Noon), le capitaine Don't Bothers. Son désir de jouer au hockey ainsi que son renvoi vont être le déclic pour créer cette équipe faite de bric et de broc. Le garçon va ainsi tenter d'être le ciment de ce groupe composé de joueurs qui ne se connaissaient pas et qui ne pensaient même pas jouer un jour au hockey. Malgré la présence réconfortante de sa mère, il est pourtant à la recherche d'une figure paternelle depuis le départ de son père. Il la trouve finalement un petit peu auprès du coach Bombay. Dans l'équipe, il est secondé par Nick Ganz (Maxwell Simkins), un garçon en recherche d'ami, élevé par ses deux mères, et ultra-attachant. Il est sûrement le personnage enfant le plus réussi avec ses répliques qui font toujours mouche, à la fois maladroites, naïves mais incroyablement réalistes, notamment sur lui-même.

Le reste de l'équipe n'est pas en reste et propose de belles personnalités : Sofi Hanson Bhatt (Swayam Bhatia), la fille d'origine indienne, première de la classe, qui est poussée par ses parents à tout réussir ; Koob (Luke Islam), le garçon obèse qui ne sort jamais de son fauteuil où il joue aux jeux vidéo sur sa console ou sur son téléphone ; Lauren (Bella Higginbotham), la fille un peu bizarre fan des jeux de rôle ; Logan (Kiefer O'Reilly), le beau gosse canadien étonnement plus doué pour la pâtisserie que pour le hockey et qui manque surtout de confiance en lui ; Maya (Taegen Burns), la fille populaire venant de New York ; Sam (De'Jon Watts), un garçon afro-américain adepte des sports urbains. Ainsi, la relation de l'équipe se construit petit à petit, surtout que la série prend son temps en approfondissant les différents personnages d'un épisode à un autre. Une fois, l'amitié de Maya et Lauren est abordée ; une autre la pression familiale de Sofi ; une troisième, la phobie sociale de Koob ou encore le manque d'assurance de Logan.

Grâce à cette approche, Les Petits Champions : Game Changers se permet d'aborder différents formats familiaux, sans juger mais en montrant toute leur diversité dans un réjouissant message d'inclusion. La démarche rend les personnages tellement attachants qu'il se dégage de la série un sentiment de bien-être. Les spectateurs apprécient ainsi de revenir chaque semaine suivre les aventures de cette équipe de bras cassés dans un vrai programme cocooning, plein de bons sentiments. Certes, la série ne réinvente pas la poudre mais son objectif n'est pas du tout là. Elle essaye de retrouver l'ambiance de camaraderie des films des années 1990 et offre au final une série Disney de qualité où l'ennui n'a jamais sa place. Chaque épisode est un plaisir à suivre, une sorte de bonbon sucré qui fond dans la bouche et qui fait du bien. La série n'a pas d'autre ambition que de divertir un public familial et elle y arrive à merveille.

Le dernier épisode de cette première saison des (Les) Petits Champions : Game Changers est plutôt bien trouvé. Il apporte une note d'émotion tout en étant cohérent avec l'évolution des personnages et de l'équipe. Surtout, la conclusion, en deux temps, permet de proposer une fin toute en nuance tout en justifiant à merveille le titre de la série. D'ailleurs, cette série pourrait parfaitement s'arrêter là sans qu'une Saison 2 soit fatalement nécessaire. Le récit se termine en effet de façon convaincante et satisfaisante et tous les personnages ont eu la possibilité d'évoluer et de voir leurs arcs narratifs arriver à leur terme. Disney décidera donc en fonction des statistiques de visionnages si elle mérite de continuer ou non. A priori, d'après les premiers chiffres, elle a été bien plus populaire aux États-Unis que dans le reste du monde. Rien d'étonnant à cela, la franchise des Mighty Ducks est bien plus connue au pays de l'Oncle Sam. Bien sûr, si la série continuait, les spectateurs seraient ravis de retrouver les personnages. Mais dans le cas contraire, ils ne seraient pas pour autant dévastés, la première saison ayant veillé à fermer toutes les portes.

Les Petits Champions : Game Changers est une série feel-good proposant une histoire simple mais avec des personnages attachants que le spectateur prend plaisir à retrouver au fil des dix épisodes. Entre cocooning et nostalgie, ce retour des Ducks est une vraie réussite !

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