Maman, J'ai Raté l'Avion !

Maman, J'ai Raté l'Avion !
L'affiche du film
Titre original :
Home Alone
Production :
20th Century Fox
Date de sortie USA :
Le 16 novembre 1990
Genre :
Comédie
Réalisation :
Chris Columbus
Musique :
John Williams
Durée :
97 minutes
Disponibilité(s) en France :

Le synopsis

Pour les fêtes de fin d’année, la famille McCallister s’est offert un voyage pour Paris. Partis dans la précipitation, ils oublient le petit Kevin, grondé la veille et puni dans le grenier de la grande demeure. L’enfant, au début heureux de s’être débarrassé d’une famille décidément encombrante, se retrouve subitement à défendre la maison familiale contre un duo de voleurs bien décidés à mettre à sac tout le quartier...

La critique

rédigée par
Publiée le 16 décembre 2018

Chaque genre cinématographique a son digne représentant, chacun érigé à la faveur du temps et de leur qualité intrinsèque, en film culte. Alors que la science-fiction se paye le luxe d’une saga Star Wars dès 1977, le thriller lui se voit représenté dès 1960 par le Classique de Hitchcock, Psychose. Le western n’est pas en reste avec Le Bon, la Brute et le Truand d’un Sergio Leone inspiré, tandis que le fantastique arbore les couleurs de sa (La) Ligne Verte. Mais quand il s’agit de se pencher sur le genre très fermé des comédies de Noël, un film en particulier fait l’unanimité, considéré comme étant le meilleur dans son genre : Maman, J’ai Raté l’Avion !, qui n’a certainement pas raté le succès et la postérité qu’il mérite, ouvrant la porte à une franchise des plus lucratives…

Produite par 20th Century Fox, filiale de The Walt Disney Company rachetée en 2018, cette comédie familiale sentant bon le pain d’épice et la neige cotonneuse est l’œuvre du réalisateur Chris Columbus. Né le 10 septembre 1958 à Spangler en Pennsylvanie, il réalise ses premiers films en super 8 dès son très jeune âge. Il débute ensuite sa carrière à Hollywood comme scénariste, notamment sur trois productions de Steven Spielberg : Gremlins (1984), Les Goonies (1985) et Le Secret de la Pyramide (1985). Il passe alors derrière la caméra en mettant en scène Nuit de Folie (1987) et Heartbreak Hotel (1988), tous deux chez Touchstone Pictures. Mais c'est sa rencontre avec John Hughes qui va donner un nouvel élan à sa carrière et l'amener à réaliser plusieurs comédies familiales très populaires, Maman, J'ai Raté l'Avion ! (1990) et sa suite Maman, J'ai Encore Raté l'Avion... Et Je Suis Perdu Dans New York (1992) au succès sans précédent, qui lui ouvrent les portes de nombreux succès à venir. Madame Doubtfire (1993) et L'Homme Bicentenaire (1999, ce dernier chez Touchstone Pictures) avec Robin Williams, Neuf Mois Aussi (1995) avec Hugh Grant, en seront de dignes exemples. Il s'essaye aussi au mélodrame sur Ma Meilleure Ennemie (1998) avec Julia Roberts. Il obtient encore un nouveau grand succès en adaptant pour Warner les deux premiers volets de la saga Harry Potter : Harry Potter à l'École des Sorciers (2001) et Harry Potter et la Chambre des Secrets (2002). Par la suite, il réalise, entre autres, l'adaptation du musical de Broadway Rent (2005), celle du roman jeunesse Percy Jackson : Le Voleur de Foudre (2010) et devient dès 2006 producteur sur la franchise très rentable de La Nuit au Musée avec Ben Stiller. En 2015, il réalise le consternant film de science-fiction où une entité extraterrestre, ayant pris la forme de célèbres personnages de jeux-vidéo, attaque l'espèce humaine, Pixels.

Maman, J’ai Raté l’Avion ! est donc inextricablement lié à la carrière du réalisateur, approché par John Hughes, scénariste du film, alors qu’il travaillait en tant que réalisateur sur la comédie d’Universal Pictures L’Oncle Buck (1989), avec entre autre Macaulay Culkin et John Candy. L’idée vient à Hughes lorsque, dans l’une des scènes de L’Oncle Buck, Macaulay Culkin parle à travers la fente d’une boîte aux lettres à une supposée babysitter. Il n’en faut pas plus pour le scénariste qui se charge dès lors d’écrire le script de Maman, J’ai Raté l’Avion !, faisant même un clin d’œil au film qui lui donna l’idée en tournant une scène similaire ; le jeune garçon parle - cette fois-ci à travers une chatière - à l’un des voleurs empotés ! Hughes propose alors le scénario à Columbus qui, après avoir abandonné la production d’un autre film proposé par Hughes (Le Sapin a les Boules réalisé finalement par Jeremiah Chechik) accepte avec engouement et décline un autre script, celui du (Le) Temps d’un Orage réalisé par William Ryan en 1998. Le scénariste lui conseille même de prendre comme acteur pour le personnage central, le petit Macaulay Culkin, visiblement très à l’aise avec les caméras. Le réalisateur auditionne cependant une centaine d’enfants pour le rôle (dont notamment le petit voisin des McCallister malencontreusement compté parmi la fratrie) puis, après une entrevue avec le jeune garçon, se décide sur lui, appelant aussitôt Hughes et lui avouant « Il est génial ! ». Entre-temps, Warner, initialement positionnée sur le projet proposant un budget de quatorze millions de dollars, laisse la main à 20th Century Fox,qui augmente elle la somme totale de trois millions supplémentaires.

Ces dix-sept millions en poches, Columbus commence donc la réalisation du film dès février 1990 pour une durée totale de trois mois. La première séquence à être tournée n’est cependant pas une scène centrale. Elle est même plutôt anecdotique : il s’agit du film que regarde le petit Kevin, Angels with Filfthy Souls (avec deux acteurs seulement : Ralph Foody, déjà vu dans The Blues Brothers, et Michael Guido) qui n’est donc pas une vraie production mais s’inspire plutôt d’un film de gangsters des années 30, Les Anges aux Figures Sales (Angels with Filthy Faces dans la version originale, un titre pas si éloigné de sa copie-parodie) avec Humphrey Bogart et James Cagney. Film à petit budget, l’équipe de tournage a dû dénicher une réelle maison, se trouvant au 671, Lincoln Avenue à Winnetka, dans l’Illinois, pour tourner les scènes extérieures mais également certaines intérieures à l’instar de la cuisine, la cave ou encore le hall d’entrée et son élégant escalier. Pour des raisons de dimensionnement des pièces, les séquences restantes sont réalisées dans un gymnase de la New Trier Highschool, non loin de la maison. Une autre contrainte force l’équipe de tournage à s’adapter : Macaulay Culkin, alors âgé de dix ans, ne peut travailler jusqu’à dix heures du soir (législation oblige), or une grande partie du film se déroule la nuit ! Le réalisateur s’empressa alors de filmer le jeune garçon le plus longtemps possible, même lorsque celui-ci n'est pas en train de jouer son rôle afin d'obtenir le plus de matériel à réutiliser. Son personnage principal émerveille à l’écran et s’articule autour d’une galerie de rôles sans fausses notes et presque sans gros mots…

Macaulay Culkin endosse donc le rôle du cadet de la famille, Kevin McCallister. Né le 26 août 1980 à New York, le jeune garçon a eu une carrière très prolifique assez tôt. Dès ses quatre ans, il apparaît, en effet dans une production de l’Orchestre Philarmonique de New York puis enchaîne les seconds rôles à la télévision puis au cinéma en 1988 dans le film Le Rocher de Gibraltar aux côtés de Burt Lancaster. Épatant John Hughes qui le faisait alors tourner dans son film L’Oncle Buck, il convainc Columbus de lui offrir le rôle central de son film Maman, J’ai Raté l’Avion !. L’immense succès du long-métrage lui ouvre les portes d’une célébrité sans précédent pour un gosse de son âge, devenant ainsi l’enfant le mieux payé de tous les temps. Avec sa bouille d’ange et sa répartie cinglante, il est aux yeux du monde entier, un Kevin McCallister irrésistible, un rôle qu’il reprendra dans sa suite, Maman, J’ai Encore Raté l’Avion... Et Je Suis Perdu Dans New York, au succès tout aussi fulgurant. Il côtoie alors les plus grandes stars, Michael Jackson le prenant même sous son aile, le faisant tourner dans son clip Black or White, ou l’invitant à venir régulièrement dans son manoir de Neverland.

Le duo de voleurs est interprété par Joe Pesci et Daniel Stern, jouant respectivement Harry et Marv. Le premier, né en 1943, est pourtant habitué à des rôles de voyou beaucoup plus sérieux, à l’instar de ses personnages dans Raging Bull, L’Arme Fatale 2, 3 et 4, Casino, ou encore JFK. Dans Maman, J’ai Raté l’Avion !, il est le « cerveau » de l’équipe apportant ce qu’il faut de finauderie et de dangerosité. Columbus a cependant dû chaperonner l’acteur qui lâchait trop facilement des gros mots, évidemment peu acceptables dans une comédie familiale. Il lui a donc conseillé de remplacer le mot Fuck par Fridge (signifiant réfrigérateur en anglais), rajoutant ainsi même du ridicule au personnage ! Question ridicule, son compère Marv, joué par Daniel Stern, n'est pas en reste. L’acteur américain, né en 1957, doit d’ailleurs sa renommée à Marvin, le malfrat quelque peu simplet aux pieds nus ! Les deux acteurs forment ainsi un duo fonctionnant du tonnerre, aussi hilarants lorsqu’ils se prennent le bec que lorsqu’ils sautent - à pieds joints - dans les pièges pondus par le génie de Kevin !

Du côté de la famille McCallister, les parents de Kevin sont interprétés par John Heard et Catherine O’Hara. Né en 1945 et décédé en 2017, Heard est notamment connu pour son rôle de Peter McCallister dans Maman, J’ai Raté l’Avion ! mais aussi du sénateur Tancredi dans la série Prison Break. Il forme avec O’Hara (dont la voix n’est pas sans rappeler celle de Sally dans le film L’Étrange Noël de Monsieur Jack), un couple convaincant bien que vite débordé par un départ précipité d’une famille nombreuse. Celle-ci se compose de leurs enfants : Buzz (joué par Devin Ratray vu plus tard dans la saison 1 de la série Agent Carter), Megan (Hilary Wolf), Linnie (Angela Goethals), Jeff (Michael C.Maronn) et bien évidemment l’énergique Kevin. La famille va cependant être accompagnée de l’oncle Franck, interprété par Gerry Bamman (Cocktail, Bodyguard) et de sa femme Leslie (Terrie Snell) et leurs enfants : Rod (Dustin Diamond), Heather (Kristin Minter) et Fuller joué par Kieran Culkin (Le Père de la Mariée), frère de Macaulay dans la vie. De par le nombre conséquent d’enfants, il est parfois difficile pour le spectateur de suivre qui est qui. Mais il saura toujours reconnaître Kevin dans cette masse de bambins, certainement car il n’est pas comme les autres, son personnage ayant cette malice dont les autres sont dépourvus. Sa famille, bien que fouillie, ne fait que d’autant plus souligner le caractère unique de son rôle.

John Candy donne ses traits au célèbre joueur de Polka - du moins célèbre en Pologne - Gus Polanski. L’acteur canadien né en 1950 et décédé en 1994 s’est illustré dans de nombreux succès cinématographiques comme le premier Touchstone Pictures Splash (1984), Un Ticket Pour Deux (1987) où il tourne sous la direction de John Hughes, comme dans le film L’Oncle Buck (1989). Il prête sa voix en 1990 à Wilbur dans Bernard et Bianca au Pays des Kangourous et enchaîne les réussites au cinéma avec JFK (1991) et Rasta Rockett en 1993, et ce jusqu’à sa mort en 1994. Dans Maman, J’ai Raté l’Avion !, il aide la mère de Kevin à retourner chez elle. Alors qu’il n’était libre qu’une seule journée pour le tournage de ses scènes, il a dû tourner pendant vingt-trois heures consécutives, improvisant presque la totalité de ses répliques ! L’histoire du gamin laissé à la morgue est donc l’une de ses inventions ! Sa bonhomie et sa joie communicative sont des éléments appréciables dans l’opus.
Enfin, un dernier personnage mérite une attention particulière : celui de Old Man Marley, interprété par Roberts Blossom. L’acteur américain, né en 1924, connu pour son rôle dans L’Évadé d’Alcatraz, prend ici les traits du voisin supposé tueur en série, inspiré du partenaire de Scrooge dans l’œuvre de Dickens, Un Chant de Noël. Ce personnage au premier abord brut et froid apporte en réalité une note sentimentale agréable en fin d’opus et confirme le thème principal du film : la famille est l’essentiel !

Malgré un petit budget, le scénario et l’univers créés par Chris Columbus enchantent le public et le succès est évidemment au rendez-vous ! Dès le premier week-end, le film engrange plus de dix-sept millions de dollars, remboursant ainsi son coût de production. Mais la carrière du long-métrage ne s’arrête pas là. Le bouche-à-oreille et la frustration de ceux qui ont été rebutés devant les salles de cinéma pour causes de séances pleines font leur effet et font accéder l’opus à la première place du box-office américain durant douze semaines consécutives ! Mieux encore, originellement sorti en novembre 1990, il reste sur les écrans jusqu’en juin de l’année suivante. Tout le monde se presse pour aller voir les aventures du petit Kevin, laissé seul chez lui mais bien décidé à ne pas abandonner sa maison au premier danger venu. Mais ce succès n’arrange pas tout le monde à Hollywood et fait naturellement de l’ombre à de nombreuses productions adjacentes, menant à la création d’une expression bien connue d’Hollywood : lorsqu’un film est « Home aloned » (adapté du titre original), cela signifie que son manque de succès est à nuancer à cause du succès de Maman, J’ai Raté l’Avion ! car si celui n’avait pas existé, il aurait fait « évidemment plus » ! La mauvaise foi de certains n’empêche pas l'opus de devenir le plus gros succès de l’année 1990 au box-office américain allant jusqu’à atteindre plus de 476 millions de dollars au box-office mondial, doublé malgré tout par l’histoire d’amour de Demi Moore et Patrick Swayze dans Ghost sorti la même année.

Il reste pourtant la comédie familiale la plus rentable de l’histoire du cinéma, entrant par la même occasion dans le Livre Guinness des Records dans sa catégorie. L'opus croule sous les récompenses : deux nominations aux Golden Globes dans la catégorie Comédie (Meilleur Film et Meilleur Acteur dans un film de Comédie pour Macaulay Culkin), l'American Comedy Award de l'Acteur le plus Drôle dans un film pour Macaulay Culkin ou encore la récompense du Meilleur Film de Comédie aux British Comedy Awards. Dès lors, le réalisateur ayant trouvé sa poule aux œufs d’or ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : deux ans plus tard, en 1992, sa suite, Maman, J’ai Encore Raté l’Avion... Et Je Suis Perdu Dans New York, réitère le succès de son aîné ! La franchise s’étoffe avec trois autres suites aux réalisateurs différents, dont une au cinéma : en 1997 sort Maman, Je m’Occupe des Méchants ! réalisé par Raja Gosnell (Chris Columbus devient ici producteur) suivi par le téléfilm Maman, Je Suis Seul Contre Tous diffusé en 2002 sur ABC dans l’émission The Wonderful World of Disney et enfin Maman, la Maison est Hantée !, téléfilm de 2012 de la collection des ABC Family Original Movies. La franchise se développe même dans d’autres domaines. Trois jeux vidéo, des jeux de société, une novelisation du premier film et divers jouets marketing (dont le célèbre Talkboy de Maman, J’ai Encore Raté l’Avion... Et Je Suis Perdu Dans New York) inondent en effet le marché !

Maman, J’ai Raté l’Avion ! doit évidemment son succès à son casting parfaitement sélectionné, son scénario excellemment coordonné et sans temps mort, ses décors enveloppés de magie de Noël (la maison a été ainsi complètement redécorée des rideaux aux canapés en passant par les tapisseries, dans les tons vert et rouge, couleurs associées aux fêtes de fin d'année) mais également grâce à sa bande-originale indissociable de l’opus. Au tout début du tournage, c’est Bruce Broughton qui est choisi après avoir déjà travaillé avec Columbus sur Le Secret de la Pyramide. Le compositeur, connu du grand public pour avoir signé les bandes-sons des films Chérie, J'ai Agrandi le Bébé, L'Incroyable Voyage et des attractions Spaceship Earth à Epcot, Le Visionarium – Voyage à Travers le Temps ou encore Chérie, J’ai Rétréci le Public, se retrouve pourtant contraint de décliner l’offre. Il travaille effectivement à l’époque sur un autre projet assez chronophage, la bande originale du film Disney Bernard et Bianca au Pays des Kangourous. Columbus contacte alors précipitamment Spielberg pour lui demander si John Williams, compositeur-phare de la saga Star Wars, est libre pour remplacer au pied levé Broughton. Williams lit le script et tombe littéralement sous le charme ! L’inspiration le mène ainsi à utiliser des classiques de Noël à l’instar du cantique O Holy Night (reprise par les choeurs dans la scène de l'église donnant lieu à un pur moment de beauté simple et transcendante) ou encore Carol of the Bells mais aussi créer le magnifique titre principal du film, Somewhere in My Memory, décrochant une nomination à l’Oscar de la Meilleure Chanson Originale (et une nomination aux Grammy Awards pour cette chanson) ainsi qu'une nomination à l'Oscar de la Meilleure Musique de Film.

Ainsi, l’opus revenant chaque année ne cesse de plaire à un public qui aime s’y replonger. Dans plusieurs pays du mondes, Maman, J’ai Raté l’Avion ! fait l’objet de nombreuses rediffusions télévisées à la fin de l’année et bénéficie parfois de ressortie au cinéma, notamment pour ses vingt-cinq ans en 2015 aux États-Unis ; certains pays anglo-saxons, à l’instar de l’Irlande, le proposant également sur grand écran chaque année comme Traditionnel de Noël (Christmas Classic). Coté télévision, en Pologne, par exemple, il est rediffusé annuellement et rassemble une audience toujours fidèle (l’année 2011 a enregistré plus de cinq millions de téléspectateurs). Et pas question de changer la grille de peur de s’attirer les foudres d’un public avide des aventures de Kevin McCallister ! Et pour les plus grands fans, la vraie maison, construite en 1920, existe au 671, Lincoln Avenue à Winnetka dans l’Illinois et comprend cinq chambres, environ trois salles de bains et plus de 390 mètres carrés de surface habitable... Elle fut mise sur le marché pour la modique somme de 2,4 millions de dollars (puis vendue à un million cinq) !

Film culte devant l’Éternel, Maman, J’ai Raté l’Avion ! est entré dans la postérité, devenant un Classique de Noël dont le visionnage durant les fêtes de fin d’année est un passage obligé dans de nombreux pays du monde. Son personnage principal, interprété par le malicieux Macaulay Culkin, devenu par la suite l’une des plus grandes stars de sa génération, offre aux spectateurs toute une série de gags hilarants dont les deux bandits font les frais pour le plus grand plaisir du public. Parenthèse exquise empreinte de magie de Noël et réveillant l’enfant enfoui en chacun, il est un must à visionner et revisionner à chaque fin d’année, sans jamais en être lassé !

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