Titre original :
Finding Dory
Production :
Pixar Animation Studios
Date de sortie USA :
Le 17 juin 2016
Genre :
Animation 3D
IMAX
3-D
Réalisation :
Andrew Stanton
Angus MacLane
Musique :
Thomas Newman
Durée :
95 minutes
Disponibilité(s) en France :
Autre(s) disponibilité(s) aux États-Unis :

Le synopsis

Dory, le poisson chirurgien bleu amnésique, mène une existence heureuse dans les récifs avec ses amis Nemo et Marin quand elle se souvient brusquement qu’elle a sans doute quelque part une famille qui l'attend. Elle décide de se lancer à sa recherche...

La critique

rédigée par
Publiée le 10 juin 2016

Le Monde de Dory étonne en se révélant une suite plutôt réussie et parvenant même à faire mieux que Le Monde de Nemo sur certains aspects. Il continue, en effet, d'avoir des personnages ultra-attachants, y compris les nouveaux, sait se renouveler dans les lieux rencontrés tout en proposant quelques clins d'œil sympathiques et disposant d'une animation toujours superbe. Mais surtout, il mène une réflexion sur la famille et la mémoire étoffée sans passer par la case road movie sous-marin du premier opus mais plutôt via un film d'aventure dans un parc océanique. Clairement meilleur que Le Voyage d'Arlo ou Cars 2, Le Monde de Dory se situe ainsi dans le milieu du panier chez Pixar : charmant, drôle et mignon assurément mais pour autant non parfait.

Dire que Le Monde de Nemo a eu un énorme succès pour Pixar, et par richochet pour Disney, est un doux euphémisme. Le film se voit, en effet, littéralement plébiscité par la presse au même titre que les précédents films Pixar. Nommé pour quatre Oscars (Meilleur Film d'Animation, Meilleure Musique, Meilleur Scénario Original et Meilleur Montage Sonore), il remporte pour la première fois dans la vie de son label celui du Meilleur Film d'Animation. Le public, quant à lui, ne se fait pas prier pour suivre les aventures du petit poisson. Il fait de l’opus le meilleur film d'animation de tous les temps au box-office américain, dépassant le record détenu jusqu’alors par Le Roi Lion. Contrairement à Simba et Mufasa, Marin et Nemo ne le conservent pourtant pas bien longtemps puisque l’année suivante il tombe au profit de Shrek 2 de DreamWorks Animation. Le film restera, par contre, le meilleur résultat d'un film Disney ou Pixar jusqu'en 2010 où il se voit dépassé par Toy Story 3. En France, le long-métrage brille autant en devenant le meilleur film de l'année au box-office avec le score ahurissant de 9,3 millions d'entrées !

Un tel résultat commercial amène avec lui un important merchandising, toujours développé des années après sa sortie. Le Monde de Nemo décroche également l’honneur d’une ressortie en 3-D le 14 septembre 2012 aux États-Unis et le 16 janvier 2013 en France.
Côté parcs à thème, le film ouvre la voie à de nombreuses déclinaisons. Il y a d'abord Turtle Talk with Crush, prouesse technologique à son lancement, sorte de discussion interactive avec Crush, proposée à Epcot, Disney California Adventure, Hong Kong Disneyland et Tokyo DisneySea. Submarine Voyage à Disneyland est ensuite relooké avec Nemo et devient Finding Nemo Submarine Voyage tout comme The Seas à Epcot changé en The Seas with Nemo & Friends. Enfin, Finding Nemo – The Musical est proposé au Disney's Animal Kingdom tandis que le Parc Walt Disney Studios à Paris a droit à Crush's Coaster au succès dépassant toutes les attentes.

Cela fait ainsi des années que Disney rêve de produire la suite des aventures de Nemo, Marin et Dory. Bien avant le rachat de Pixar par Mickey, le Studio aux Grandes Oreilles alors en pleines négociations afin de renouveller l'accord de distribution avec le Studio à la Lampe affiche, il est vrai, déjà son souhait d'un numéro 2 au Monde de Nemo. The Walt Disney Company dispose, en effet, des droits d’exploitation sur les histoires et les personnages des anciens films produits. L'accord lui laisse même la primauté de décision sur d’éventuelles suites. Ainsi, Pixar a les mains liées ; s’il décide de changer de distributeur, il perd non seulement le droit d’exploiter ses anciens personnages mais ne peut pas, en outre, empêcher la réalisation de suites menées par d’autres ! Malgré tout, les pourparlers entre Steve Jobs, PDG de Pixar, et Michael Eisner, PDG de The Walt Disney Company, se passent très mal et Pixar annonce vouloir trouver un autre partenaire pour distribuer ses films. Parallèlement, Disney fait mine d’organiser la riposte et de reprendre la main. Le 16 juin 2005, la compagnie annonce ainsi l'ouverture d'un nouveau studio d'animation : Circle 7 Animation. Situé à Glendale, dans d'anciens locaux d'ABC, à proximité de DreamWorks Animation et de Walt Disney Imagineering, il se destine à produire uniquement des suites des films Pixar comme Toy StoryMonstres & Cie et Le Monde de Nemo. Si le projet de Toy Story 3 est bien avancé, les deux autres ne sont qu'au stade d'annonce. Circle 7 Animation était-il une vraie structure ou un simple coup de bluff destiné à démontrer la capacité de Disney à se passer de Pixar ? Les animateurs recrutés jurent que le studio était bien réel et parfaitement viable. Les analystes du secteur en sont eux moins convaincus... La question ne sera jamais tranchée, car Roy Disney gronde en coulisse. Il sort du bois à la première occasion et mène intensivement une action de lobbying dénommée "Save Disney". Il déstabilise ainsi la Direction de l’époque et contraint, en 2005, Michael Eisner à précipiter son départ en obtenant un vote de défiance lors de l'Assemblée Générale des Actionnaires de la firme toute entière. Bob Iger, alors numéro 2, le remplace en qualité de PDG. Sa première décision consiste bien vite à renouer avec Pixar dont il organise le rachat dès 2006. Il place également John Lasseter à la tête de la division Animation de la nouvelle entité Disney-Pixar. Circle 7 Animation est fermé dans la foulée et tous ses projets stoppés. Pixar entend, en effet, revenir seul aux commandes des éventuelles suites de ses films ! Si Toy Story 3 est rapidement mis en chantier, suivi de peu par Cars 2 et Monstres Academy ; bizarrement la suite du (Le) Monde de Nemo se fait, elle, attendre.

Andrew Stanton replonge donc des années plus tard à nouveau dans l'océan en réalisant Le Monde de Dory, suite du (Le) Monde de Nemo. Natif du Massachusets, il se forme à CalArts (California Institute of the Arts), dont il sort licencié en animation de personnages. Ses courts-métrages, Somewhere in the Arctic, lauréat du Nissan Focus Award et A Story lui ouvrent les portes de Pixar en qualités de directeur de l'animation et réalisateur de films publicitaires. Entré dans le fameux studio en 1990, il est alors la neuvième personne à rejoindre l'équipe de pionniers de l'animation par ordinateur formée par John Lasseter, et en devient le deuxième animateur. Scénariste sur chacun des longs-métrages du studio jusqu'au (Le) Monde de Nemo, il gagne l'Oscar du Meilleur Script pour Toy Story sorti en 1995. Il coréalise 1001 Pattes (a bug's life) en 1998 aux cotés de John Lasseter. Producteur exécutif de Monstres & Cie en 2001, Andrew Stanton est, en 2003, auteur, coscénariste et réalisateur du (Le) Monde de Nemo. Il signe alors le plus grand succès de l'histoire de l'animation aux Etats-Unis quelques semaines après sa sortie. En 2008, il réalise, toujours pour Pixar, le chef d'œuvre d'animation, WALL•E, plébiscité par la critique et le public, auréolé lui-aussi de l'Oscar du Meilleur Film d'Animation.

En 2006, alors qu'il est au milieu de la réalisation de WALL•E, l'artiste réfléchit, en effet, à son prochain projet et conserve dans un coin de sa tête, l’envie de signer l'adaptation du (Le) Cycle de Mars. Fan des livres d'Edgar Rice Burroughs depuis son adolescence, il rêve éveillé de pouvoir livrer sa vision sur grand écran des aventures de son héros préféré ! Ni une, ni deux, il demande aux responsables des studios Disney de lui laisser sa chance pour sa première réalisation d'un film à prises de vues réelles. Et à son grand étonnement, ils la lui accordent ! Il faut dire qu’avec Le Monde de Nemo, le plus gros succès d'animation Disney de tous les temps à l'époque et le prometteur WALL•E, il est auréolé du « sceau du génie ». Sauf que la réalisation de John Carter ne va pas se passer comme une lettre à la poste. Attaqué de toutes parts, le film de science-fiction va se trainer une réputation exécrable avant même sa sortie allié à un très mauvais marketing et un changement de direction au sein des studios Disney (sans parler des tractations secrètes pour racheter Lucasfilm Ltd.). Si John Carter est aussi excellent que superbe, le mal est fait. Etrillé par la critique, boudé par le public, le film va devenir l’un des plus gros flops du cinéma rapportant à peine 284 millions de dollars dans le monde pour un budget sans marketing estimé à 250 millions. Une des conséquences sera le départ précipité du jeune et nouveau responsable des studios, Rich Ross, qui se verra remplacé par le vétéran venu de chez Warner, Alan Horn.

L'échec de John Carter va précipiter les choses pour Andrew Stanton et avoir une conséquence directe sur Le Monde de Dory. En effet, si le film martien avait marché, le réalisateur aurait certainement voulu enchaîner sur la suite des aventures sur Barsoom. Mais l'échec du long-métrage va non seulement mettre fin à la saga mais aussi un coup d'arrêt brutale dans la carrière du réalisateur dans les longs-métrages à prise de vues réelles. Il retourne donc penaud chez Pixar. Très vite, la Direction de Disney lui fait comprendre qu'il faut qu'il se mette sur un projet susceptible de rembourser les pertes qu'il a fait subir à l'entreprise. Alors, certes le réalisateur n'arrête pas de proclamer qu'il est passé sur Le Monde Dory parce qu'il avait une idée qui lui trainer dans la tête depuis des années. Pour autant, il est évident qu'il s'est ici fait plus ou moins forcer la main par The Walt Disney Company. Ce n'est d'ailleurs pas le seul à connaitre pareil sort  : Brad Bird vit exactement la même chose, lui qui s'est attelé à la suite des (Les) Indestructibles après l'échec d'À la Poursuite de Demain.

Sur Le Monde de Dory, Andrew Stanton est épaulé par un co-réalisateur  en la personne d'Angus MacLane. Venu de Portland dans l'Orégon, l'artiste entre chez Pixar en 1997 pour travailler sur le cartoon, Le Joueur d'Échecs. Il est ensuite animateur sur presque tous les longs-métrages du studio (1001 Pattes (a bug's life), Toy Story 2, Monstres & Cie, Le Monde de Nemo, Les Indestructibles, Cars - Quatre Roues, Ratatouille, WALL•E, Là-Haut et Toy Story 3) mais aussi certains de ses courts-métrages comme Drôles d'Oiseaux sur une Ligne à Haute Tension et L'Homme Orchestre. Il passe également derrière la caméra pour les courts-métrages BURN•E et Mini Buzz mais aussi le moyen-métrage télévisé Toy Story : Angoisse au Motel. Le Monde de Dory constitue ainsi sa première réalisation pour un long-métrage.

Pour la suite des aventures de Nemo et ses amis, Andrew Stanton a trés vite eu la vague idée d'explorer le passé de Dory. Pour construire les personnages et l'histoire du premier film, il avait dû, en effet, construire le passé du poisson chirurgien, d'où elle venait et ce qui lui était arrivé. Pour lui, donc, le personnage était bien plus profond que le film ne le montrait et les spectateurs en pensaient, ne retenant que son côté bon enfant, joyeux et optimiste venu de son trouble de perte de mémoire à court terme. L'exercice est ainsi périlleux car une précédente suite Pixar avait déjà choisi de mettre en avant un personnage secondaire et signé un échec artistique patent : Cars 2. Martin n'a, en effet, pas la capacité pour tenir un film durant et de rôle secondaire sympathique, il est devenu un rôle principal insupportable. Dory, fort heureusement, ne rencontre pas le même problème. Le personnage du poisson chirurgien a, il est vrai, suffisamment de ressources dramatiques pour rendre son histoire passée touchante et son aventure à venir palpitante.

La bonne idée du film est donc de construire la trame autour du trouble de mémoire de Dory tout en changeant l'angle d'attaque par rapport au premier film. Dans Le Monde de Nemo, Dory par son problème amene beaucoup de comédie ; dans Le Monde de Dory c'est plutôt l'émotion et le tragique qui sont mis en avant. La question est simple mais particulièrement touchante : avec ce genre de trouble mental, est-ce que les personnes oublient jusqu'aux gens qu'elles aiment ? Ont-elles le moyen de retrouver le chemin de leur maison si elles venaient à se perdre ? Le long-métrage insiste ainsi sur cette problématique complexe et amène un ton vraiment émouvant. Le Monde de Dory est de la sorte un film familial à l'état pur dans son terme le plus noble car il amène à réfléchir sur la force de la famille, surtout quand celle-ci, comme ici, est confrontée à la question du handicap. Après, l'exercice atteint vite ses limites dans l'opus en raison de la nature du mal qui frappe la pauvre Dory : la perte de mémoire. Le film se doit en effet de regorger de flash-backs et de séquences de souvenirs qui ont tendance parfois à géner un peu son rythme...

Le Monde de Dory est, à l'évidence, mieux construit que son film de référence qui n'est qu'une succession de scènettes mêlant le road trip de Marin dans l'océan et l'initiation de Nemo dans l'aquarium du dentiste. Le deuxième épisode se passe, lui, un an après la fin du Monde de Nemo. Il démarre assez rapidement en proposant de gros clins d'œil aux lieux, aux rencontres et aux personnages déjà vus ou connus puis passe très vite à l'aventure qui se résume en la quête des parents de Dory. Alors, certes, il n'y a rien ici de foncièrement original : il est encore question de partir à la recherche d'une personne perdue, à l'autre bout de l'océan, et durant lé périple, de rencontrer de nouvelles créatures qui vont aider les protagonistes à atteindre leur but. Pour autant, le lieu a changé : l'océan n'est présent qu'au début du film, le reste se déroulant dans un centre océanographique où les poissons et animaux marins sont repêchés pour y être soignés. La mission de sauvetage se fait donc dans un parc aquatique de bassins en bassins. Le côté road movie est moins présent au profit de l'aventure, carrément rocambolesque à la fin mais sachant parfaitement restée fun. Il est à noter, à ce sujet, que le documentaire de 2013, Blackfish, sur les méfaits de garder en captivité les orques, a fait évoluer l'histoire au cours de la production. Le film se permet, en effet, de faire passer un message sur les animaux enfermés dans les parcs, y compris ceux qui pensent agir pour le bien de l'animal. Disney's Animal Kingdom appréciera...

Les personnages du (Le) Monde de Dory sont la grande force du film. Si tous ceux du (Le) Voyage d'Arlo étaient ratés, ici c'est manifestement tout le contraire.
Dory (Ellen DeGeneres en VO / Céline Monsarrat en VF) tient donc le rôle principal. Elle est aussi drôle que touchante. Son trouble de la mémoire immédiate fait, il est vrai, qu'elle peut avoir des remarques d'une drolerie absolue car complètement sorties de leur contexte ; pour autant, se sachant malade, elle se rend compte qu'elle est vulnérable. Sa recherche de sa famille (sa mère Jenny et son père Charlie) devient donc une priorité pour elle : elle veut se prouver qu'elle est capable de se rappeler de sa vie, et surtout que la famille est plus forte que la maladie.
Nemo et Marin (Albert Brooks en VO / Franck Dubosc en VF) jouent ici fort logiquement le rôle de personnages secondaires. Les deux n'ont pas changé d'un iota dans leur définition et personnalité ; Marin ayant notamment toujours du mal à faire confiance. Ils amènent un peu de comique de part leurs rencontres dans leur tentative pour retrouver Dory et ont droit ainsi eux-aussi à une belle dose d'aventure.
Parmi les nouveaux personnages de ce deuxième opus, trois méritent véritablement l'attention.
D'abord, le vrai et grand coup de cœur du film est clairement Hank, le poulpe (Ed O'Neill en VO / Philippe Lellouche en VF). Il amène, en effet, beaucoup de comédie grâce à son cynisme à toute épreuve. Chacune de ses scènes fait mouche et l'autorise à voler clairement la vedette aux personnages qu'il cotoie.
Ensuite, Bailey, le béluga (Ty Burrell en VO / Kev Adams en VF) est également fort sympathique surtout grâce à son sonar, utilisé d'une façon aussi inédite que drôle.
Enfin, Destinée, le requin-baleine (Kaitlin Olson en VO / Mathilde Seigner en VF) est amusante à souhait de part sa myopie qui l'a fait rentrer dans les murs.
Au delà de ces trois principaux, une ribambelle de nouveaux personnages s'invite, en outre, dans l'opus dont deux lions de mers gentiment comiques et des bébés loutres totalement craquants.
A noter, il est primordial de rester jusqu'à la toute fin du générique où une longue scène savoureuse attend les spectateurs, mélant des personnages du premier et second opus.

Techniquement, Le Monde de Dory est forcément superbe. Il n'y a aucune fausse note visuelle : tout est ici beau et coloré. Par contre, plus aucune prouesse technique ne se remarque au point de faire s'extasier le spectateur durant le visionnage. Aussi réussi que le film soit, il ne repousse plus de limites comme si Pixar et l'animation 3D avaient atteint un plafond de verre. La musique de Thomas Newman, comme dans le premier opus, est belle et parfaitement en phase avec l'animation. Par contre, là aussi, aucun thème ne ressort particulièrement. Dans les deux cas, le travail est beau et efficace mais rien ne frise le génie.

Le Voyage d'Arlo, sorti six mois plus tôt, a marqué une première pour le studio à la lampe : c'est, en effet, la première fois qu'un de ses films perd de l'argent. Avec 331 millions de dollars au box office mondial, il est l'opus pixarien qui a le moins rapporté n'arrivant pas à se connecter avec le public. Le Monde de Dory ne devrait pas vivre le même cauchemar. Ses personnages connus, aimés de tous, font que le public a envie de les retrouver. Quand, en plus, ils vivent une histoire taillée sur mesure pour les familles, le studio de Luxo Jr. n'aura sans doute pas de mal à disposer d'un deuxième film, après Toy Story 3, dépassant le milliard de dollars de recette mondiale.

Le Monde de Dory est une suite réussie aussi bonne voire meilleure que l'original. Le film est particulièrement porté par des personnages attachants et une thématique sur la famille et la mémoire qui émeut. L'aventure est menée tambour battant et l'humour très présent n'est jamais lourd. Le Monde de Dory ne fait certes pas partie des meilleurs Pixar mais il n'en est pas moins un film foncierement sympathique et divertissant.

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