Fil Info - Février 2020

Voici les actualités de The Walt Disney Company.

Voici les dépêches d’actualité concernant tous les pans de l’activité de The Walt Disney Company.

Fil Info

Tout ce qu’il fallait savoir sur Disney, résumé en quelques lignes, complété si besoin de liens vers des articles et dossiers pour approfondir les sujets abordés !

Les dernières dépêches

Les dépêches de février 2020

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— 28 février 2020 • 09H13 —
Laurent Armand-Zuniga
Covid-19 :Tokyo Disney Resort ferme à son tour— 28 février 2020 • 09H13 — Laurent Armand-Zuniga —

Tokyo Disney Resort ferme ses portes, en raison de la crise liée au coronavirus, au moins jusqu’au 15 mars 2020. Pour rappel, le Resort nippon avait aussi subi une fermeture de longue durée lors du séisme de 2011 de la côte Pacifique du Tohoku. Tokyo Disney Resort avait été alors contraint de fermer ses portes du 11 mars au 15 avril 2011, avec un retour à la normale progressif.

Le resort japonais rejoint ainsi Shanghai Disney Resort, à l'arrêt depuis le 24 janvier 2020 et Hong Kong Disneyland fermé depuis le 26 janvier 2020 pour les mêmes raisons sanitaires liées à la propagation du coronavirus.

— 27 février 2020 • 14H40 —
Laurent Armand-Zuniga
Mulan et le coronavirus— 27 février 2020 • 14H40 — Laurent Armand-Zuniga —

Toutes les sorties cinéma prévues en février ont été annulées en Chine.
Mulan programmé pour le 27 mars est ainsi, pour l'instant, de facto lui-aussi suspendu dans la mesure où les cinémas sont purement et simplement fermés. La crise du coronavirus impacte donc fortement le marché chinois.
Et les dégâts seront durables : pour rattraper le retard pris et soutenir l’industrie locale, une fois la crise passée, il se murmure, en effet déjà, que les autorités vont prioriser les sorties des productions chinoises au détriment des étrangères et notamment des américaines. L’embouteillage sera tel que des films, pourtant programmés à la base pour sortir en Chine en 2020, ne seront finalement jamais proposés en salles. Or, c’est là laisser la porte grande ouverte au piratage et Mulan n’échappera pas au phénomène, sujet de fierté nationale ou pas.
Reste alors aux majors américaines de consentir à se rabattre sur des sorties uniquement sur les plateformes SVàD locales, mais là-aussi, en y laissant des plumes financières.
Le Covid-19 est décidément un film catastrophe…

— 26 février 2020 • 09H56 —
Laurent Armand-Zuniga
Polémique sur le catalogue Disney+— 26 février 2020 • 09H56 — Laurent Armand-Zuniga —

Disney+ affronte actuellement une polémique sur la définition de son catalogue et notamment la frontière entre ce qui relève d’un public familial - et donc accessible au plus grand nombre - et ce qui n’en relève pas. Contrairement à Netflix dont la nature et le genre des œuvres qu’elle propose à ses abonnés ne souffrent pas vraiment de limites, allant du tout public jusqu’au public averti, The Walt Disney Company a en effet décidé de positionner la plateforme qui porte son nom sur le public familial, respectant par-là les contours de l’image de la marque Disney dans l’inconscient collectif. La firme de Mickey pallie d’ailleurs cette problématique en possédant deux plateformes, Disney+ et Hulu, qu’elle commercialise d’ailleurs conjointement aux États-Unis.
À Disney+, donc, les œuvres familiales et grand public venues des labels Disney, Pixar, Lucasfilm, Marvel et National Geographic ; à Hulu, les œuvres plus adultes venues notamment de 20th Century Studios et Searchlight Pictures. La frontière n'est toutefois pas tout à fait claire puisque, par exemple, Les Simpson, qui adopte en permanence un ton provocant et une imagerie peu adaptée aux plus jeunes pour aborder des thématiques contemporaines, se retrouve sans fard sur... Disney+ !
Le postulat de départ expliqué, la démarche peut cependant être compréhensible. Contrairement à des labels comme Warner ou Universal, Disney ne peut pas en effet se voir associé à des productions non familiales. Où le bât blesse en revanche, c’est quand une œuvre est annoncée sur Disney+ puis se voit transférée manu militari sur Hulu car jugée, après coup, ne plus correspondre à un public familial. Et la première à subir le couperet est Love, Victor, la série inédite inspirée du film Love, Simon qui a marqué l’année cinématographique 2018 en constituant le premier film pour adolescents traitant de façon enjouée et décomplexée de la vie d’un adolescent américain dont l’homosexualité se voit révélée au lycée.
Disney+ a ainsi annoncé l’arrivée dans son catalogue de la série puis, avant même sa mise en ligne, choisi de la déplacer sur Hulu, expliquant fort maladroitement que son traitement ne correspondait finalement pas à la définition d’une œuvre à destination d’un public familial. Disney insiste ainsi sur le fait que c’est bien le traitement qui pose problème et non le thème ; Love, Victor étant a priori bien moins chaste que son aîné Love, Simon. Mais voilà, il n’en fallait pas plus pour que les réseaux sociaux se déchaînent contre cette décision, moquant notamment le choix éditorial de Disney+ et pointant du doigt la présence dans son catalogue de films où le niveau de violence, par exemple, est loin d’être tout public ; le pauvre Anakin Skywalker devenant alors bien malgré lui l’exemple du grand écart opéré par Disney avec notamment sa scène où il massacre les enfants Padawan dans Star Wars : La Revanche des Sith.

Cette polémique est malheureuse parce qu’elle vient plomber tous les efforts de Disney dans l’inclusion de personnages homosexuels dans ses productions. Disney Channel par exemple a récemment franchi un pas énorme dans la représentation des adolescents gays sur son antenne avec, dans la série Andi, le personnage de Cyrus qui fait son coming-out et prononce même clairement « I’m Gay », une ligne rouge dénoncée alors par les Associations Familiales Américaines les plus réactionnaires qui ont carrément appelé au boycott de la chaîne de Mickey. 

Il n’empêche. La polémique sur Love, Victor n’en est qu’au premier round. Si la série se révèle pas si audacieuse qu’annoncée dans sa représentation de l’homosexualité chez les adolescents (tout le monde pense évidemment à la présence de scènes sensuelles et de baisers fougueux), Disney+ devra faire face à la réalité. Ce n’est pas le traitement qui lui posait souci, mais bien le thème…

— 24 février 2020 • 21H35 —
Fabien Dupont
Disney+ offert aux abonnés de Canal+— 24 février 2020 • 21H35 — Fabien Dupont —

Disney+ débarque dans exactement un mois en France et dans plusieurs pays européens ! Plus que 29 jours avant de pouvoir profiter des riches catalogues des labels Disney, Pixar, Marvel, Star Wars, National Geographic et de bien d'autres comme Les Simpson !

Pour fêter l'occasion, Canal+ a communiqué auprès de ses abonnés afin de les informer que Disney+ serait inclus gratuitement dans leur offre dès le 24 mars 2020. Le service de SVàD de la firme aux grandes oreilles sera en effet compris dans le Pack Ciné Séries commercialisé par le groupe de la chaîne cryptée. Les abonnés au simple bouquet des chaînes Canal+ (Canal+ et ses dérivées Canal+ Cinéma, Sport, Décalé et Family) bénéficient quant à eux de la gratuité pour le service de streaming de la compagnie de Mickey mais durant un an seulement ! Les abonnés de Canal+ n'ont alors qu'à attendre de recevoir le 24 mars un courriel qui contiendra un lien d'activation pour ouvrir leur compte Disney+ offert.

Cette nouvelle pourrait être parfaitement réjouissante si elle ne laissait pas un goût amer aux fans de The Walt Disney Company qui ne sont pas abonnés à Canal+. Pour faire attendre les impatients un mois avant le lancement européen de Disney+, les résidents de l'Allemagne, de l'Espagne, de l'Italie et du Royaume-Uni bénéficient en effet d'une offre de préinscription. L'abonnement d'un an leur est proposé à 59,99 € pendant un an contre 69,99 €, soit 10 € de réduction (49,99 £ contre 59,99 £ au Royaume-Uni), s'ils souscrivent avant le lancement du service.

La France a donc été exclue de cette communication synchronisée. S'il est encore possible qu'une offre soit communiquée aux résidents de l'Hexagone, il est probable que le choix de Disney France d'avoir confié à Canal+ l'exclusivité de la distribution de son service sur les box possède des limites. Canal+ ayant certainement monnayé très cher cette exclusivité, il est possible que l'opportunité de proposer des offres commerciales liées à Disney+ lui soit réservée. Une preuve de plus que le choix de distribution de Disney France, différent de celui des autres filiales européennes, ne sera pas sans conséquence fâcheuse pour les consommateurs français.

— 19 février 2020 • 11H54 —
Thibaut Ange
Magic Happens, la nouvelle Parade californienne— 19 février 2020 • 11H54 — Thibaut Ange —

Le 28 février prochain, une nouvelle parade diurne sera lancée à Disneyland Resort à l’occasion des 65 ans du Disneyland Park. Succédant à la Mickey’s Soundsational Parade qui a défilé à Main Street, U.S.A. du 11 mai 2011 au 17 juillet 2019, la parade Magic Happens offrira aux visiteurs une nouvelle flotte de chars inédits. Mickey Mouse ouvrira ainsi le bal dans un costume inspiré du segment L’Apprenti Sorcier de Fantasia à bord d’un char reprenant le design du chapeau de sorcier de Yen Sid. La célèbre souris sera accompagnée de Minnie, Dingo, Pluto, Donald et Tic et Tac.

Il sera suivi par d’autres chars reprenant des scènes mythiques de films d’animation Disney : Cendrillon lors de la transformation de la citrouille en carrosse, Merlin et Arthur au moment ce dernier retire l’épée Excalibur de son enclume, et Tiana et le Prince Naveen quand ils s’échangent le baiser qui leur fait reprendre leur apparence humaine. D’autres chars verront apparaître des personnages Disney et Pixar emblématiques : Anna, Elsa, Kristoff et Olaf de La Reine des Neige II, Vaiana, Maui et Pua de Vaiana, La Légende du Bout du Monde, Miguel, son chien Dante, Hector et Imelda de Coco, ainsi qu’Aurore, Philippe et les trois fées Flora, Pâquerette et Pimprenelle de La Belle au Bois Dormant. D'autres personnages icôniques défileront à pied, tels que Pinocchio, la Fée Bleue, Peter Pan, la Fée Clochette, Aladdin et le Génie.

La parade Magic Happens proposera une nouvelle chanson inédite et dynamique, co-écrite et chantée par l’artiste Todrick Hall qui s’est fait connaître lors de sa participation à l’émission American Idol avant de jouer dans plusieurs comédies musicales à Broadway. Il avait commencé sa carrière en tant que danseur dans le spectacle Beauty and the Beast – Live on Stage à Walt Disney World Resort. La cavalcade verra aussi défiler quatre-vingt-dix danseurs dans de nouveaux costumes colorés.

— 18 février 2020 • 09H52 —
Laurent Armand-Zuniga
La gestion du catalogue de Disney+ en France— 18 février 2020 • 09H52 — Laurent Armand-Zuniga —

Disney+ arrive en France le 24 mars 2020. La plateforme, dont la commercialisation sur les box est opérée en France par le Groupe CANAL, intensifie depuis quelques jours sa communication dans l’hexagone et vient notamment d’ouvrir son fil Twitter. Elle en profite donc pour répondre aux questions des internautes. Et au détour d’une réponse, des informations sont données sur la gestion du catalogue. 
Ainsi, par exemple, la série Star Wars : The Mandalorian sera bien présente dès l’ouverture mais il est précisé qu’elle sera dévoilée au rythme d’un épisode par semaine, comme cela a été le cas lors du lancement de Disney+ en novembre 2019 sur le territoire américain. Disney+ a, en effet, très tôt expliqué que, contrairement au leader Netflix, elle ne souhaite pas mettre en ligne d’un coup l’intégralité d’une série mais entend étaler sa révélation sur un rythme hebdomadaire. Cette pratique a l’avantage de feuilletonner le programme qui, s’il marche, redevient chaque semaine le centre d’intérêt des réseaux sociaux, là où la révélation d'une série, en un coup d'un seul, crée l’événement et déchaîne les passions puis, comme un feu de paille, voit l'attention brutalement retomber.

La position de Disney+ se défend et apparaît même tout à fait cohérente. Où le bât blesse, c’est sur la spécificité qui vient du lancement décalé de la plateforme dans de nouveaux pays dont la France. Autant dévoiler la saison 2 de Star Wars : The Mandalorian à un rythme hebdomadaire sera logique, épousant là la pratique suivie par la maison-mère américaine ; autant, pour la saison 1, ça l’est beaucoup moins. La série est en effet déjà dévoilée dans son intégralité, il serait donc judicieux de la proposer en intégralité permettant au public français de la « rattraper » sans languir. C’est d’autant plus pertinent qu’elle est disponible par ailleurs sans difficulté dans un pays qui s’est fait le champion du téléchargement illégal et autres VPN.

Il est décidément incroyable de voir que les grands acteurs du marché audiovisuel n’ont toujours pas compris que la richesse de l’offre légale et la facilité à son accès sont le premier des antidotes au piratage…

— 10 février 2020 • 15H54 —
Laurent Armand-Zuniga
Les effets du RGPD sur Chronique Disney— 10 février 2020 • 15H54 — Laurent Armand-Zuniga —

Chronique Disney est désormais conforme aux obligations découlant du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Désormais, en effet, le site affiche un bandeau qui permet à ses visiteurs de choisir la gestion des traceurs qu’ils souhaitent se voir appliquer.

Il peut ainsi tous les accepter, tous les refuser ou les personnaliser. Une fois qu’il a formulé son choix, le bandeau disparaît pour une durée de treize mois maximum. Il réapparaît toutefois si l’internaute vide le cache de son navigateur. Le même internaute peut également se rendre sur la page Mentions Légales pour modifier ses décisions, à tout moment, via le bouton « Gestion des cookies ».

Cette conformité totale au RGPD - Chronique Disney n’a pas en effet cherché à éviter ses obligations - présente un inconvénient majeur : la mesure d’audience du site (via Google Analytics) devient impossible puisque tous les internautes ayant choisi de refuser les cookies « Google Analytics » sortent du comptage. Il ne sera donc plus possible de présenter les résultats d’audience avec cet outil puisque le panel d’étude est artificiellement réduit ; Chronique Disney utilisera désormais les statistiques de fréquentation directement extraites du serveur pour suivre l'évolution de sa fréquentation.

Cet effet collatéral du RGPD n’a fort heureusement pas de conséquences directes sur l’existence même de Chronique Disney puisque le site vit sur les deniers de ses créateurs et demeure totalement dépourvu de publicités. Son audience n’est donc pas liée à la commercialisation d’espaces publicitaires. De même, il ne contient aucun programme d’affiliation à une boutique en ligne (du style Amazon ou shopDisney), si bien que le refus de cookies ne vient pas faire effondrer ses recettes, puisqu’il n’en a pas.

Il n’empêche, avec la mise en place d'une conformité totale au RGPD, tous les sites gratuits qui vivent de la publicité ou de l’affiliation jouent leur survie. Le début de la fin du web gratuit ? L’avenir le dira mais le pessimisme est tout de même de rigueur. 
Chronique Disney reste, lui, sur un modèle totalement philanthropique qui, pour le moment, le met à l'abri de ces turbulences. Depuis 20 ans. Jusqu'à quand ? Impossible de répondre...

— 10 février 2020 • 12H17 —
David Scordia-Révérand
Le palmarès des Oscars 2020— 10 février 2020 • 12H17 — David Scordia-Révérand —

Cette nuit a eu lieu la traditionnelle cérémonie des Oscars (qui a consacré Parasite en tant que meilleur film), diffusée sur ABC, la chaîne de Disney.

Voici les récompenses suprêmes qui ont été attribuées à des productions Disney.

— 09 février 2020 • 16H02 —
Thibaut Ange
Disney & les Oscars : bilan avant la 92e Cérémonie— 09 février 2020 • 16H02 — Thibaut Ange —

La 92e Cérémonie des Oscars se tient dimanche 9 février 2020 au Dolby Theater de Los Angeles. Avant d’en découvrir le palmarès, voici les informations essentielles à connaître sur les productions de The Walt Disney Company primées par l'Académie.

  • Pixar Animation Studios est le studio ayant remporté le plus de fois l'Oscar du meilleur film d'animation

Depuis la création de l'Oscar du meilleur film d'animation en 2002, treize films de Pixar Animation Studios ont été nommés dans cette catégorie et neuf l'ont remporté. Les Walt Disney Animation Studios ont été nommés sept fois dans cette catégorie et ont gagné la statuette trois fois. En dix-huit ans, l'Oscar n’a pas été remis à l’un des deux studios à six reprises (en 2002 avec Shrek, en 2003 avec Le Voyage de Chihiro, en 2006 avec Wallace et Gromit : Le Mystère du lapin-garou, en 2007 avec Happy Feet, en 2012 avec Rango et en 2019 avec Spider-Man : New Generation).

Les Walt Disney Animation Studios savent déjà qu’ils pourront faire une croix sur cette récompense en 2020, puisque La Reine des Neiges II n’a pas été retenu parmi les nommés. Le film Pixar Toy Story 4 est en lice pour la statuette, face à Klaus (Netflix), Dragons 3 : Le Monde Caché (DreamWorks Animation), J’ai Perdu mon Corps (Xilam) et Monsieur Link (20th Century Fox International).

  • Dix-neufs films de labels de The Walt Disney Company ont remporté l'Oscar du meilleur film

Trophée le plus convoité des Oscars, la statuette récompensant le meilleur film est décernée chaque année depuis la première Cérémonie en 1929. Elle est remise au producteur du film, l’Oscar du meilleur réalisateur étant une autre catégorie. Cinq à dix films peuvent être nommés dans cette catégorie. Depuis 1929, 19 films issus de labels de The Walt Disney Company ont remporté l’Oscar du meilleur film : dix films de 20th Century Studios, un film de Selznick International Pictures, quatre films de Miramax Films et quatre films de Searchlight Pictures.

Cette année, neuf films concourent pour la récompense suprême, dont Jojo Rabbit (Searchlight Pictures) et Le Mans 66 (20th Century Studios). Ils sont opposés à The Irishman, Joker, Les Filles du Docteur March, Marriage Story, 1917, Once Upon a Time… in Hollywood et Parasite.

  • Trois films d'animation ont déjà été nommés pour l'Oscar du meilleur film

Trois films d’animation ont, à ce jour, reçu une nomination pour l’Oscar du meilleur film (aucun ne l’ayant emporté). En 1992, La Belle et la Bête est le premier film d’animation à être nommé dans cette catégorie. S’il s’incline face au (Le) Silence des Agneaux, le Grand Classique des Walt Disney Animation Studios repart toutefois avec deux autres statuettes, celles de la meilleure musique de film et de la meilleure chanson originale pour Beauty and the Beast.

En 2010, le film Pixar Là-Haut figurait parmi les dix films nommés pour l’Oscar du meilleur film. Tout comme Avatar et Inglourious Basterds notamment, il s’incline face à Démineurs. Avec quatre autres nominations, Là-Haut remporte deux trophées, celui du meilleur film d’animation et celui de la meilleure musique de film. L’année suivante, en 2011, c’est un autre film d’animation Pixar qui se retrouve nommé pour l’Oscar du meilleur film. Toy Story 3 ne remporte pas la statuette, qui est revenue à Le Discours d’un Roi. Le troisième volet des aventures de Woody et Buzz remporte malgré tout l’Oscar du meilleur film d’animation et celui de la meilleure chanson pour We Belong Together.

En 2020, aucun film d’animation ne figure parmi les neuf films nommés pour l’Oscar du meilleur film.

  • Walt Disney est la personne ayant remporté le plus d'Oscars à titre personnel

Au cours de sa vie, Walt Disney s’est vu décerner pas moins de vingt-six Oscars à titre personnel, faisant de lui, encore à ce jour, la personne la plus récompensée par l’Académie. Quatre Oscars d’honneur lui ont été remis, en 1932 pour la création de Mickey Mouse, en 1939 pour Blanche Neige et les Sept Nains reconnu comme « une innovation cinématographique significative qui a charmé des millions de gens et inauguré un nouveau terrain de divertissement pour le dessin animé », et en 1942, pour son exceptionnelle contribution envers l’avancement de l’utilisation du son dans les films cinématographiques, accompagné de l’Irving Thalberg Memories Award saluant « la grande qualité de nombreuses productions toutes accomplies par un seul producteur ».

Nommé à cinquante-neuf reprises, Walt Disney a également reçu vingt-deux statuettes en tant que producteur pour des productions en compétition : douze Oscars du meilleur court-métrage d'animation, cinq Oscars du meilleur court-métrage sur deux bobines, deux Oscars du meilleur film documentaire, deux Oscars du meilleur court-métrage documentaire et un Oscar du meilleur court-métrage.

  •  Titanic est le film du catalogue Disney ayant remporté le plus d'Oscars

Titanic (1997, 20th Century Studios) reste à ce jour le film plus récompensé aux Oscars avec onze victoires et quatorze nominations. D’autres films parmi le catalogue Disney figurent parmi les plus primés par l’Académie : Le Patient Anglais (1996, Miramax Films) avec neuf victoires pour douze nominations, Cabaret (1972, ABC Studios) et Slumdog Millionnaire (2008, Searchlight Pictures) avec huit victoires pour dix nominations ou encore Shakespeare in Love (1998, Miramax Films) avec sept victoires pour treize nominations.

Le film de Walt Disney Pictures le plus primé est Mary Poppins (cinq victoires pour treize nominations) tandis que le film Touchstone Pictures ayant été le plus récompensé est Qui Veut la Peau de Roger Rabbit (trois victoires et un Oscar spécial pour six nominations).

Du côté des films d’animation, aucun film des Walt Disney Animation Studios et des Pixar Studios n’a, à ce jour, remporté plus de deux statuettes. La Belle et la Bête (six nominations), Là-Haut et Toy Story 3 (cinq nominations chacun) se détachent des autres primés.

Depuis Star Wars : Un Nouvel Espoir (1977), aucun autre film de Lucasfilm Ltd. n’a fait mieux que sept victoires et onze nominations. Pour Marvel Studios, c’est Black Panther (2018) qui se distingue avec trois victoires pour sept nominations.

Pour la Cérémonie de 2020, les films Disney les plus nommés sont Jojo Rabbit (Searchlight Pictures) avec six nominations, Le Mans 66 (20th Century Studios) avec quatre nominations et Star Wars : L’Ascension de Skywalker (Lucasfilm Ltd.) avec trois nominations.

  • Trente chansons de films du catalogue Disney ont remporté l'Oscar de la meilleure chanson

A ce jour, trente chansons issues de films de labels appartenant à The Walt Disney Company ont été récompensées par l'Oscar de la meilleure chanson originale : Quand On Prie la Bonne Étoile (Pinocchio) en 1941, You'll Never Know (Hello, Frisco, Hello) en 1944, It Might as Well Be Spring (La Foire aux Illusions) en 1946, Zip-A-Dee-Doo-Dah (Mélodie du Sud) en 1948, Three Coins in the Fountain (La Fontaine des Amours) en 1955, Love Is a Many-Splendored Thing (La Colline de l'Adieu) en 1956, Chem Cheminée (Mary Poppins) en 1965, Parler aux Animaux (L'Extravagant Docteur Dolittle) en 1968, Raindrops Keep Fallin' on My Head (Butch Cassidy et le Kid) en 1970, The Morning After (L'Aventure du Poséidon) en 1973, We May Never Love Like This Again (La Tour Infernale) en 1975, It Goes Like It Goes (Norma Rae) en 1980, Let the River Run (Working Girl) en 1989, Sous l'Océan (La Petite Sirène) en 1990, Sooner or Later (Dick Tracy) en 1991, La Belle et la Bête (La Belle et la Bête) en 1992, Ce Rêve Bleu (Aladdin) en 1993, L'Amour Brille Sous les Étoiles (Le Roi Lion) en 1995, L'Air du Vent (Pocahontas, une Légende Indienne) en 1996, You Must Love Me (Evita) en 1997, My Heart Will Go On (Titanic) en 1998, Toujours dans mon Cœur (Tarzan) en 2000, Si Je Ne T'Avais Pas (Monstres & Cie) en 2002, Al Otro Lado Del Río (Carnets de Voyage) en 2005, Falling Slowly (Once) en 2008, Jai Ho (Slumdog Millionaire) en 2009, The Weary Kind (Crazy Heart) en 2010, We Belong Together (Toy Story 3) en 2011, Man or Muppet (Les Muppets, le Retour) en 2012 et Libérée, Délivrée (La Reine des Neiges) en 2014

Cette année, trois chansons issues de films Disney sont en lice pour remporter cet Oscar : Dans un Autre Monde (La Reine des Neiges II), J' Peux Pas Te Laisser (Toy Story 4) et I'm Standing With You (Breakthrough).

— 06 février 2020 • 10H44 —
Laurent Armand-Zuniga
Le coronavirus et Disneyland Paris— 06 février 2020 • 10H44 — Laurent Armand-Zuniga —

Le Parisien revient ce matin sur la psychose autour de la menace de la propagation du coronavirus dans un article consacré au Numéro Vert mis en place le 1er février 2020 par le ministère de la Santé pour répondre aux interrogations (non médicales) que se pose la population française. 

Parmi les questions que reçoivent les agents, revient notamment « Puis-je aller à Disneyland ? ».

Chronique Disney voit dans la récurrence de la formulation de cette crainte la conséquence de plusieurs informations qui s’entrechoquent. Déjà, naturellement, première destination touristique d’Europe, le Resort français reçoit une clientèle internationale dont une part est évidemment asiatique, d’ailleurs principalement japonaise et non pas chinoise. Mais l’amalgame est total.
Ensuite, le grand public a appris la fermeture des Resorts chinois*, d’abord Shanghai Disney Resort puis Hong Kong Disneyland Resort, la confusion s’est sans doute produite dans l’esprit des gens les moins attentifs.
Enfin, il y a évidemment une part de bêtise naïve qui emporte tout sur son passage.

*Au sujet de ces fermetures, The Walt Disney Company, a publié hier un « avertissement sur résultat » anticipant les importantes conséquences sur les comptes de Disney Parks, Experiences and Products, la branche Parcs de la firme de Mickey.

— 06 février 2020 • 02H04 —
Geoffrey El Islami
L'affiche Pin Trading de Février 2020— 06 février 2020 • 02H04 — Geoffrey El Islami —

Les pin's de février sont arrivés ! Faisant honneur à des classiques d'animation et aussi à une attraction iconique à l'histoire troublante mais passionnante, ce mois est également celui de l'amour et de la nouveauté. Tour d'horizon des créations de pin's du deuxième mois de l'année 2020 pour pin traders avertis comme débutants :

  • le mercredi 5 février 2020, la première Pin Trading Time se déroule de 13 à 17 h au Cowboy Cookout Barbecue. dans le Parc Disneyland ;
  • Le samedi 8 janvier 2020, retour dans la Quatrième Dimension avec une toute nouvelle collection de pin's à l'effigie du tristement célèbre Hollywood Tower Hotel, fleuron de l'hôtellerie dans les années 20 situé au cœur de la ville du cinéma. En plus d'une lanière aux couleurs de l'établissement délabré, Stitch joue les grooms de service avec Dingo, Tic & Tac tandis que deux magnifiques pin's rendent hommage à l'architecture de The Hollywood Tower Hotel et son style si particulier. Enfin, au Pueblo Trading Post de Frontierland, Donald se grime en Cupidon pour la Saint-Valentin ;
  • le samedi 15 février 2020, les Princesses Disney sont de retour avec des pin's d'Ariel et Polochon, Raiponce et Flynn, Mickey et Minnie ou encore Pascal... en robe ! Au Pueblo Trading Post, deux collections se voient ajoutées chacune d'un nouveau modèle (en édition limitée à 700 exemplaires) : celle des Princesses Disney sur carrousel avec Cendrillon et celle des World's Best Friends avec Mulan et l'inénarrable Mushu ;
  • le samedi 29 février 2020, une collection en partenariat avec Romain Costa voit le jour sous la forme de trois pin's (en édition limitée à 400 exemplaires), tous à l'effigie du Classique Disney de 1963 Merlin l'Enchanteur avec Archimède, Merlin en short de bain et sa tour branlante où se trouvent ses appartements. Enfin, deux pin's présentent les personnages de En Avant, le prochain Pixar Animation Studios prévu pour mars 2020, Lan et Burley.

— 06 février 2020 • 01H23 —
David Scordia-Révérand
Décès de Kirk Douglas— 06 février 2020 • 01H23 — David Scordia-Révérand —

Le légendaire acteur Kirk Douglas nous a quittés à l'âge de 103 ans.

Pour les différents labels des Walt Disney Studios, il a joué dans les films suivants :

Kirk Douglas est également la voix de Chester Lampwick dans l'épisode Le Jour Où la Violence s'Est Éteinte de la série animée Les Simpson.

— 04 février 2020 • 19H02 —
Matthieu Baudry
Mickey, Donald & Cie, une très jolie collection— 04 février 2020 • 19H02 — Matthieu Baudry —

Le 26 décembre 2019, Hachette Collections a lancé Mickey, Donald & Cie – La Grande Galerie des Personnages Disney. Depuis, tous les 15 jours, une figurine d'un personnage issu des univers de Donaldville et de Mickeyville, ainsi qu'un fascicule l'accompagnant, sont disponibles chez les marchands de journaux. Les premiers numéros, consacrés à Donald Duck, Mickey Mouse, Dingo et Balthazar Picsou, sont annonciateurs d'une très belle collection à venir.

Le fascicule, composé d'une quinzaine de pages richement illustrées, est divisé en plusieurs chapitres avec la volonté affirmée de proposer au lecteur un portrait complet du personnage mis à l'honneur. Les premières pages sont alors consacrées à la fiche d'identité du toon recensant les informations majeures du héros, de son nom complet à ses créateurs, en passant par ses attributs physiques principaux et ses différents liens avec les autres personnages de Mickeyville et de Donaldville. Le caractère du personnage est également passé au crible, le tout illustré au moyen d'images extraites de cartoons iconiques et de cases de bandes dessinées emblématiques. Les pages suivantes se penchent ensuite sur les coulisses de la création du personnage, ainsi que sur ses premiers pas au cinéma et dans la bande dessinée ; le dossier sur sa genèse s'achève alors par une brève présentation d'une histoire particulièrement marquante de sa carrière. Pour Donald, il s'agit par exemple de la bande dessinée Le Casque d'Or, (Carl Barks, 1952), quant à Mickey, c'est le segment L'Apprenti Sorcier, issu de Fantasia, qui a été analysé.

Les dernières pages du fascicule présentent, quant à elles, l'évolution graphique du personnage à travers les années, et notamment les changements opérés par les plus grands dessinateurs et animateurs sur sa physionomie. Le livret se conclut enfin par un dossier consacré à un aspect ou à un artiste clé de la carrière du personnage. Le numéro sur Donald s'attarde ainsi sur Carl Barks, celui sur Picsou sur Don Rosa, quant au numéro dédié à Mickey, il développe un sujet fort intéressant : l'histoire d'amour entre Mickey et la France.
Vrais concentrés d'informations sur la carrière des héros emblématiques, ces fascicules font la part belle à la bande dessinée ainsi qu'aux plus grands maîtres du neuvième art, à travers de très nombreuses cases de BD, comic strips et couvertures venant illustrer les différents sujets. Des images de films et de cartoons, mais aussi des travaux graphiques et des modèles préparatoires, viennent également enrichir de manière très pertinente les dossiers. Il est seulement à regretter que la très grande majorité des cases de bandes dessinées soient présentées en version originale, un lecteur non-anglophone ne pouvant dès lors pas profiter pleinement des facéties de Mickey dessinées par Floyd Gottfredson ou des accès de colère du Donald de Carl Barks. Il n'empêche : les portraits présentés dans la collection, rédigés de manière didactique sans jamais se montrer rébarbatifs, sont un plaisir à lire.

Évidemment la pièce maîtresse de chaque numéro est, à n'en point douter, la figurine inédite qui accompagne le fascicule. Réalisées en résine et peintes à la main, imaginées à partir des poses les plus emblématiques des bandes dessinées, toutes sont de très bonne facture et, au demeurant, superbes. À la fois détaillées et très respectueuses des personnages, ce sont ainsi au total soixante figurines qui sont prévues dans la collection Mickey, Donald & Cie – La Grande Galerie des Personnages Disney, à raison de deux sorties par mois. Le premier numéro, consacré à Donald, propose en outre aux collectionneurs un superbe cadeau : un poster de l'arbre généalogique de Donald Duck en grand format ! À terme, la collection promet de présenter les personnages les plus emblématiques de Disney, mais aussi des personnages moins connus des néophytes, à l'image de Gontran Bonheur ou de Géo Trouvetou.

Assurément, Mickey, Donald & Cie – La Grande Galerie des Personnages Disney est une très jolie collection qui s'adresse à tous les publics, des connaisseurs les plus chevronnés aux débutants qui veulent découvrir l'univers de Mickey et de tous ses amis.

— 03 février 2020 • 19H35 —
Matthieu Baudry
Disney distribuera en 2021 la captation d'Hamilton— 03 février 2020 • 19H35 — Matthieu Baudry —

Jouée à Broadway au Richard Rodgers Theatre depuis le 13 juillet 2015 et récipiendaire de onze Tony Awards, dont celui du Meilleur Musical, la très populaire comédie musicale Hamilton s'invitera prochainement sur les écrans de cinéma. Le 24 juillet 2018, The Walt Street Journal rapportait en effet que la comédie musicale avait été filmée au mois de juin 2016, avant que les droits de distribution du film ne soient mis aux enchères entre différents studios Hollywoodiens. C'est ultimement The Walt Disney Company qui remporte la mise, pour une somme évoquée de 75 millions de dollars ; une diffusion dans les salles obscures étasuniennes est annoncée pour le 15 octobre 2021. Cette captation est décrite comme « combinant les meilleurs éléments du théâtre et du cinéma » pour donner naissance à « une performance scénique filmée qui est une toute nouvelle façon de découvrir Hamilton ».

Hamilton est une comédie musicale créée par Lin-Manuel Miranda et qui raconte l'histoire d'Alexander Hamilton, l'un des Pères Fondateurs des États-Unis, au rythme de musiques et de chansons teintées de Hip Hop, de R&B ou encore de Soul. Les fans de la première heure ne pourront qu'être ravis, puisque la captation réalisée en 2016 par Tommy Kail présente le casting original de la comédie musicale. Lin-Manuel Miranda y incarne ainsi Alexandre Hamilton, Daveed Diggs joue le rôle du Marquis de Lafayette et de Thomas Jefferson, Renée Elise Goldsberry incarne Angelica Schuyler, quant à Leslie Odom Jr., il joue le rôle de Aaron Burr. Christopher Jackson, Jonathan Groff, Phillipa Soo, Jasmine Cephas Jones, Okieriete Onaodowan ou encore Anthony Ramos sont également de la partie.
Le prodige musical Lin-Manuel Miranda signe ainsi une nouvelle collaboration avec Disney, lui qui a entre autre participé à la composition de la musique de Vaiana, la Légende du Bout du Monde, avant de prêter sa voix en version originale au personnage de Robotik dans la série La Bande à Picsou en 2018. Il partageait la même année avec Emily Blunt l'affiche du (Le) Retour de Mary Poppins.

— 03 février 2020 • 11H03 —
David Scordia-Révérand
Résultats des BAFTA Awards— 03 février 2020 • 11H03 — David Scordia-Révérand —

Hier soir s'est tenue la cérémonie des BAFTAs Awards, affectueusement surnommés les "Oscars anglais".
Voici les prix qui concernent The Walt Disney Company.


Pour rappel, les productions Disney nommées étaient les suivantes :

  • Meilleur film d'animation :
  • Meilleur scénario adapté :
    • Jojo Rabbit (Searchlight Pictures),
    • Les Filles du Docteur March (New Regency Productions)
  • Meilleure actrice :
    • Saoirse Ronan (Les Filles du Docteur March - New Regency Productions)
  • Meilleure actrice dans un second rôle :
    • Scarlett Johansson (Jojo Rabbit - Searchlight Pictures),
    • Florence Pugh (Les Filles du Docteur March - New Regency Productions)
  • Meilleure musique :
  • Meilleur casting :
    • The Personal History of David Copperfield (Searchlight Pictures)
  • Meilleure photographie :
    • Le Mans 66 (20th Century Studios),
    • The Lighthouse (New Regency Productions)
  • Meilleur montage :
    • Jojo Rabbit (Searchlight Pictures),
    • Le Mans 66 (20th Century Studios)
  • Meilleure direction artistique :
    • Jojo Rabbit (Searchlight Pictures)
  • Meilleurs costumes :
    • Jojo Rabbit (Searchlight Pictures),
    • Les Filles du Docteur March (New Regency Productions)
  • Meilleur son :
    • Le Mans 66 (20th Century Studios),
    • Star Wars : L'Ascension de Skywalker (Lucasfilm Ltd.)
  • Meilleurs effets visuels :
  • Meilleur court-métrage britannique : 
    • Learning to Skateboard in a Warzone (If You're a Girl) (A&E IndieFilms, Lifetime Films)

— 03 février 2020 • 09H25 —
Fabien Dupont
Disparition d'Alan Harris (Star Wars)— 03 février 2020 • 09H25 — Fabien Dupont —

La galaxie Star Wars a perdu un de ses acteurs aux multiples visages. L’acteur Alan Harris est en effet décédé le 31 janvier 2020 à l’âge de 81 ans.

Principalement connu pour avoir interprété le chasseur de primes Bossk dans Star Wars : L’Empire Contre-Attaque, il a également joué pour les deux camps en interprétant aussi bien des Rebelles que des Stormtroopers dans les trois films de la trilogie originale.

Le comédien britannique a par ailleurs assuré le rôle de doublure d’Anthony Daniels pour C-3PO dans les Star Wars : L'Empire Contre-Attaque et Star Wars : Le Retour du Jedi ainsi que celle de Terrence Stamp pour le Chancelier Valorum dans Star Wars : La Menace Fantôme.

De manière plus méconnue mais tout aussi importante pour l’héritage de la saga, il a servi de modèle pour la conception du bloc de carbonite contenant Han Solo ainsi que pour le costume iconique de Boba Fett.

— 02 février 2020 • 20H34 —
Matthieu Baudry
Sélection de livres et de BD de février 2020— 02 février 2020 • 20H34 — Matthieu Baudry —

Qu'il s'agisse de romans, de Beaux-Livres ou bien encore de bandes dessinées mettant aussi bien en scène les univers de Star Wars, de Marvel, ou encore les personnages emblématiques de Disney, l'activité littéraire de The Walt Disney Company est toujours foisonnante. Chronique Disney se propose donc, chaque mois, de présenter à ses lecteurs une sélection des ouvrages à ne pas manquer, en français comme en anglais, pour être toujours parfaitement au fait de l'actualité littéraire.
Voici la sélection de romans, Beaux-Livres et bandes dessinées du mois de février 2020.

Romans

Straight On Till Morning (anglais, Disney•Hyperion). Huitième tome de la collection des Twisted Tales, le roman revisite l'histoire de Peter Pan en se posant la question suivante : Et si Wendy était partie au Pays Imaginaire avec Le Capitaine Crochet ? La jeune fille, en apprenant les plans machiavéliques du pirate, devra alors faire équipe avec la Fée Clochette pour sauver Peter Pan ainsi que le Pays Imaginaire...
Le roman, écrit par Liz Braswell (Histoire Éternelle), sera disponible à partir du 4 février 2020.

L'Escadron Alphabet (français, Pocket). Premier tome d'une trilogie, le roman se déroule après les événements dépeints dans Star Wars : Le Retour du Jedi. Alors que la guerre est sur le point de s'achever, cinq pilotes de talent forment l'Escadron Alphabet, un groupe en charge de stopper une cellule armée de l'Empire.
Le roman, écrit par Alexander Freed (Rogue One : A Star Wars Story - La Novélisation), sera disponible le 27 février 2020.

Beaux-Livres

The Art of Mulan (anglais, Disney Editions). À l'occasion de la sortie au cinéma du film Mulan en prises de vues réelles (le 25 mars 2020 en France), Disney Editions propose à ses lecteurs une réédition d'un livre d'exception, consacré au splendide film d'animation de 1998, Mulan, le tout agrémenté de nouveaux documents visuels et d'une préface inédite.
Le livre, écrit par Jeff Kurtti et préfacé par Thomas Schumacher, sera disponible le 11 février 2020.

Bandes Dessinées et livres illustrés

Les Aventures de Picsou – La Pierre Philosophale (français, Hachette Jeunesse). Livre illustré et interactif à destination des jeunes fans de Picsou, ce petit ouvrage sera le compagnon de lecture idéal des 6-10 ans. Adapté de la bande dessinée La Pierre Philosophale, écrite et dessinée par Carl Barks et publiée en 1955, le livre raconte les pérégrinations de Picsou et de sa bande aux quatre coins du monde, à la recherche de l'étrange Pierre Philosophale.
Le livre, écrit par Rodolphe Massé sur des dessins de Fabrizio Petrossi, sera disponible le 19 février 2020.

Fantomiald – Intégrale, Tome 2 (français, Glénat). En ce début d'année, Glénat poursuit son ambitieuse collection intégrale consacrée à Fantomiald avec le second tome de sa série. L'album regroupe des histoires et des dessins des plus grands maîtres de la bande dessinée, dont Carl Barks, Don Rosa ou encore Romano Scarpa, le tout augmenté d'un appareil critique ; le canard masqué n'aura plus aucun secret pour les lecteurs.
L'album sera disponible le 26 février 2020.

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